RD Capital, auteur sur R&D Capital


Auteur/autrice : RD Capital

Investir dans les technologies propres

BUDGET FÉDÉRAL 2016-2017

Investir dans les technologies propres

  • Plus de 130 millions de dollars sur cinq ans, à compter de 2016-2017, afin de soutenir les activités de recherche, de développement et de démonstration portant sur les technologies propres en augmentant le financement accordé à Technologies du développement durable Canada pour le Fonds de technologies du DD ainsi qu’à Ressources naturelles Canada à l’égard des technologies propres
  • Montant de 62,5 millions de dollars sur deux ans, à compter de 2016-2017, accordé à Ressources naturelles Canada afin de soutenir le déploiement de l’infrastructure destinée aux carburants de remplacement, y compris l’infrastructure de recharge des véhicules électriques et les postes de ravitaillement en gaz naturel et en hydrogène
  • Montant de 20 millions de dollars sur huit ans, à compter de 2018-2019, attribué afin de créer deux autres chaires d’excellence en recherche du Canada dans des domaines liés aux technologies propres et durables
  • Montant annuel de 100 millions de dollars, à compter de 2016-2017, accordé à six organismes de développement régional du Canada afin d’appuyer leurs activités liées aux technologies propres
  • Montant de 50 millions de dollars sur deux ans, à compter de 2016-2017, versé à Ressources naturelles Canada afin d’investir dans des technologies qui réduiront les émissions de gaz à effet de serre attribuables au secteur pétrolier et gazier
  • Montant de 3,4 milliards de dollars sur cinq ans, à compter de 2016-2017, afin de s’attaquer aux changements climatiques et à la pollution de l’air, de protéger les zones écosensibles et de rétablir la confiance du public dans les processus d’évaluation environnementale

Un pas dans la bonne direction pour l’innovation au Québec

Budget 2016-2017

Montréal, le 18 mars 2016 – L’Association pour le développement de la recherche et de l’innovation du Québec (ADRIQ) se réjouit de voir que le gouvernement donne la priorité à l’innovation dans le budget 2016-2017 en identifiant les éléments critiques pour améliorer notre performance en innovation. « La priorité donnée à l’innovation dans le budget 2016-2017 par le gouvernement du Québec est une bonne nouvelle pour les entreprises innovantes » a affirmé Pascal Monette, Directeur général de l’ADRIQ.

L’amorce d’un « patent box » au Québec

Pour l’ADRIQ, soutenir les entreprises avec une ‘’déduction pour sociétés innovantes’’ favorisant la commercialisation et la fabrication au Québec est essentielle et il s’agit d’un pas important pour doter le Québec d’une culture d’innovation. En établissant un régime de taxation adapté permettant de prendre avantage de la propriété intellectuelle développée au Québec, on déploie l’amorce d’une stratégie gagnante pour assurer des retombées économiques pour le Québec. « Cette approche incitative s’apparente d’ailleurs à certaines mesures appelées ‘’patent box’’, prises par plusieurs pays européens qui vise également à diminuer la fiscalité pour les revenus découlant de biens contenant des brevets » précise Albert De Luca, Président du Conseil d’administration de l’ADRIQ.

Le numérique : un élément important pour une stratégie d’innovation

« Le montant de 160 millions pour une stratégie numérique est aussi une bonne nouvelle pour le développement d’une économie qui doit réussir la quatrième révolution économique. Nous avons un certain retard à cet égard et une approche dynamique du développement de nos entreprises par le numérique est vital » a rappelé le Directeur général.

Une véritable stratégie de la recherche et de l’innovation

L’ADRIQ rappelle d’ailleurs que nos universités et centres de recherche possèdent des expertises et des infrastructures de recherche de classe mondiale et que nos grandes entreprises (québécoises et étrangères) en sol québécois ont une importante capacité scientifique et technique de recherche et d’innovation. « Ils sont des joueurs majeurs dans l’écosystème de la recherche et de l’innovation du Québec et il est important de leur assurer un financement stable  pour les prochaines années afin qu’ils puissent participer au développement de notre économie » a indiqué M. Monette.

Enfin, l’ADRIQ souhaite que le gouvernement instaure la recherche et l’innovation en tant que priorité nationale établissant ainsi une vision cohérente, prévisible et dotée de moyens permettant de positionner le Québec en leader dans un monde de plus en plus concurrentiel. « La recherche et l’innovation ne sont pas un choix, mais une obligation pour le futur du Québec. Et il faut en faire une préoccupation stratégique de tous les jours » a conclu M. Monette.

Sources et renseignements :
Marilyn Rémillard
Coordonnatrice aux communications
Tél. : 514-337-3001 poste 108
Cel. : 514-248-2760
Marilyn.remillard@adriq.com

R&D Capital finance 33 entreprises canadiennes au cours de son 2e trimestre

L’expertise de R&D Capital et de son réseau d’experts au niveau financier, technique et fiscale, permet d’aider les entreprises dans leurs réclamations de crédits d’impôts et la défense de leurs dossiers auprès de l’Agence du Revenu du Canada et l’Agence du Revenu du Québec.

R&D Capital finance 33 entreprises canadiennes au cours de son 2e trimestre

Un financement total de plus de 10 935 000$

Multiplication des audits par l’ARC des demandes de RS&DE : les délais de traitement s’éternisent

Le programme de crédits d’impôt de RS&DE attire beaucoup d’entreprises de tous les domaines, de l’informatique à l’industriel, en passant par les sciences de la vie. Plutôt que d’accélérer le traitement des inspections, qui sont devenues de plus en plus nombreuses, l’Agence du Revenu du Canada semble opter pour une stratégie d’allongement des délais, au lieu d’ajouter des ressources à ses équipes.

L’ARC se serait-elle encore plus éloignée de la réalité des entreprises qui développent de la R&D ? C’est la question qui se pose lorsque l’on regarde ces nouvelles exigences avec lesquelles doivent composer des entreprises qui ne sont pas toujours bien préparées à ça. Le programme gouvernemental de recherche scientifique et développement expérimental s’est affiné au fil des trente dernières années, devenant plus précis, mais également plus complexe. Par la force des choses, le besoin a donné naissance à toute une industrie de consultants, appelés à la rescousse par les entreprises. Depuis deux ans, on observe dans l’industrie une véritable explosion du nombre de vérifications ainsi que des coupes, parfois majeures. À cela s’ajoute une augmentation importante du délai de traitement des réclamations. Cela s’explique facilement : non seulement Revenu Canada impose des critères plus stricts, mais en plus n’a pas le nombre de ressources humaines adéquat. Résultat? Un temps de réponse qui peut parfois dépasser une année complète! Inutile de décrire les ravages que cela peut représenter pour une startup et son fonds de roulement. Afin de survivre à ce coup dur, certaines compagnies profitent des services de firmes spécialisées en préfinancement de crédits d’impôt, comme R&D Capital.

De plus en plus d’entreprises qui avaient l’habitude de préparer elles-mêmes leur déclaration de RS&DE, reçoivent une lettre des autorités fiscales leur indiquant qu’elles doivent se soumettre à un examen de leur admissibilité. Cet audit peut devenir un cauchemar assez rapidement. Les exigences du gouvernement étant de plus en plus pointues, des entreprises n’arrivent tout simplement plus à y faire face. On refuse aujourd’hui des projets technologiques qui auraient facilement été acceptés dans le passé. Parfois même ses coupures atteignent les 100% ! C’est une perte totale pour l’entreprise.

Face à ce durcissement radical de l’ARC, des entreprises en R&D de toutes tailles baissent les bras, découragées. Elles abandonnent purement et simplement le programme, laissant de côté les milliers de  dollars qui leur seraient dus. D’autres au contraire, décident de prendre le taureau par les cornes en faisant appel à des professionnels. Ces consultants spécialisés en réclamation de crédits d’impôt de RS&DE ont développé une expertise qui fait toute la différence. C’est le cas de la firme Emergex RS&DE Subventions qui, grâce à son équipe d’experts en technologie et en fiscalité, est capable de prendre en main l’intégralité du processus de réclamation de crédits d’impôt de RS&DE, tout en s’adaptant rapidement aux contraintes en constante évolution. Emergex peut également reprendre un dossier problématique préparé par quelqu’un d’autre, le retravailler et le réaligner afin d’en faire la défense lors d’un examen par les vérificateurs de l’Agence du Revenu Canada. « De plus en plus d’entreprises viennent nous voir pour qu’on leur apporte notre secours avec leur inspection par l’ARC », explique Pierre Savignac, Président et fondateur d’Emergex RS&DE Subventions, qui réclame aussi le crédit d’impôt aux affaires électroniques (CDAE).

Avec de nombreuses heures à consacrer pour chaque réclamation de crédit d’impôt en RS&DE, des exigences de l’ARC de plus en plus pointues, une augmentation du nombre d’examens, une durée de traitement qui n’en finit plus, Revenu Canada semble de plus en plus éloigné de la réalité des PME, alors que ce programme de subvention est fait pour elles. Les firmes de professionnels en RS&DE représentent une solution de sécurité et d’efficacité pour les entreprises innovatrices.

Pour plus d’informations : www.emergex.com | Montréal 514.765.3333 | Québec 418.907.9254 | Toronto 905.849.3033